Ruki Mitarashi
Âme Automnale
Nombre de messages : 5
 |  Sujet: Ruki Mitarashi  Jeu 3 Sep - 1:37 | |
| Première Partie : Carte d'Identité
Nom et Prénom : Mitarashi, Ruki
Âge : 24 ans
Sexe : Masculin
De quel monde vient-il : Spira
Rang : Âme Automnale
Deuxième Partie : Descriptions
Apparence : Commençons par le commencement. Ruki est un homme d’un mètre quatre-vingt-dix, possédant un poids qu’il préfère se retenir de confirmer étant donné l’indiscrétion de la question. Il n’est cependant pas bien large et ne possède pas de grandes épaules comme la plupart des hommes bien bâti. Il est même relativement mince pour un homme normal. Cependant, ses vêtements cachent à merveille ce genre d’inconvénients plutôt embêtant pour une personne de sa carrure et de sa grandeur. N’allez pas vous méprendre, il n’est pas maigre comme une feuille qu’on peut plier en deux. Malgré les apparences, Ruki est un homme fort apte de soulever de lourdes charges et de repousser la moindre menace. La couleur de sa peau est relativement pâle aussi, n’appréciant pas autant le soleil que son frère aîné un peu plus basané que lui, Ruki arbore une peau assez blanchâtre sans non plus avoir l’ai maladif. En bref, il possède un teint normal d’une personne ne se prélassant pas au soleil tous les jours.
Ruki possède des yeux sombres, personne ne saurait réellement dire de quelle couleur ils sont. Leur profondeur aspire quiconque daigne y plonger leurs yeux et il semble y tourbillonner autant d’inspiration que de souffrance. Ses yeux, formée en amandes, sont discrets et se cachent à merveille derrière ses cheveux extravagants. Ses lèvres ne sont pas rosés, elles s’agencent au contraire avec son teint même si elles sont un peu plus foncés question de garder une distinction. Ceci est parce que Ruki possède une quelconque habitude de toujours se lécher les lèvres. Il ne possède pas d’imperfection spéciale sur son corps, si ce n’est qu’une marque spécifique d’une bataille avec son frère datant maintenant de plusieurs années, une cicatrice assez vilaine camouflée au niveau de son flanc droit. Elle semble avoir creusée son corps avec haine et Ruki n’en parle jamais. Elle n’est pas si omniprésente une fois torse nu, cependant, la simple vue de cette marque profonde semble lui rappeler des souvenirs.
Soucieux de son apparence, Ruki laisse démontrer une propreté impeccable et un goût particulier pour ses vêtements. En premier lieu, il porte toujours des ensembles agencés, de couleurs assez sombres aussi. Mais voici l’ensemble que porte Ruki de façon habituelle, étant donné sa préférence pour celui-ci : Sous un manteau de cuir noir lui permettant d’être confortablement protégée contre les intempéries, notre jeune nécromancien porte une chemise très légère recouverte en dominance par des fleurs qu’on pourrait traduire comme étant des roses blanches. La majorité des couleurs de cette petite chemise à manches longues est surtout les tons grisâtres, et le blanc, peut-être une pointe de bleu-gris très discret. Le col se retourne en pointe afin de former un collet distinct où se cache au niveau de son cou un collier relativement épais fait d’argent pur. La chaîne, loin d’être lourde, possède comme breloque un cadenas. Curieusement, Ruki conserve une autre breloque dans sa poche…
Celle-ci est une clef qui permet d’ouvrir ce dit cadenas. Il ne l’as, cependant, jamais utilisé. Les raisons restent des énigmes. Au niveau de ses jambes, le jeune poète porte un jean foncé, de couleur noirâtre, allant à merveille avec son manteau et sa chemise. Le vêtement tombe sur des chaussures sombres idéales autant pour la grâce que pour la marche, l’empêchant ainsi de souffrir au niveau de ses pieds. Niveau accessoire maintenant, Ruki porte plusieurs bagues diverses, tout comme ses oreilles qui sont percés. D’autant plus que tout ceci aille bien avec sa chevelure se rapprochant du style de Cloud Strife si on peut le citer ainsi, de couleur blonde se mêlant à un noir naturel, il arbore plusieurs pics et sa frange camoufle un de ses yeux. Cependant, cet air faussement vagabond lui permet de mieux surprendre de par son charisme et sa franchise. Ruki est sans doute la réincarnation simple du proverbe disant clairement que l’habit ne fait pas le moine. En bref, ne vous fiez pas à son apparence pour le juger.
Psychologie : Même si son apparence lui donne des airs de vagabond sous certains angles, surtout au niveau de l’invraisemblance de sa chevelure blonde et noire, Ruki est un homme extrêmement poli. Il est dans sa nature de faire passer les dames avant lui, de respecter les personnes âgées et de venir en aide à quiconque le demande. Cependant, il peut se montrer relativement menaçant si justement une injuste a lieu. Relativement gentil, Ruki est très raisonnable et respecte volontiers quiconque se montre aussi respectueux envers lui. Toutefois il ne perdra jamais patience envers une personne, et jamais ne se montrera-t-il seulement vulgaire pour faire comprendre son point de vu. Possédant un fin charisme, Ruki semble être un poète de nature. Il sort des phrases à faire soupirer les hommes et rêver les femmes, il sait comment charmer quiconque croise son chemin juste par des mots et son sourire est d’autant plus charmeur que ses paroles, toutefois, malgré tout ça, il n’est point manipulateur. Le mensonge et la manipulation sont d’ailleurs des choses qu’il répugne terriblement.
Ruki est un de ces hommes que beaucoup de femmes voudraient dans leur vie. Il respecte la difficulté des femmes et prends aisément conscience des douleurs des autres. Pour lui, personne n’est inférieur et tous se doit d’avoir une place égale dans le monde. Il ne supporte que difficilement les injustices et les vils personnages daignant cracher des mots avec saleté, il n’aime pas qu’on massacre les mots et préfère de loin éviter ce genre de personne qu’il qualifie comme étant non-instruite. Vouant une certaine crainte et une haine camouflée envers son frère aîné Aoi, il semble pourtant ne pas avoir d’ennemi et est toujours d’un calme olympien pouvant en énerver plusieurs. Son frère est probablement la seule personne qu’il ne veut plus jamais revoir sur son chemin. Il camoufle cependant ses peines et ses douleurs, il n’aime pas spécialement se montrer percé de sentiments, appelons cela son coté véritablement « macho », car tous les hommes en possède un, même lui. Il ne pleurs que rarement mais comme pour tout être humain sur une même planète, les émotions le submergent des fois, lui aussi.
De nature franc et idéal, il est toujours prêt à aider quiconque le demande, il dit toujours la vérité. De ce fait, évidemment, il ne supporte pas le mensonge et arrive toujours à faire cracher le morceau à une personne refusant de parler avec lui. Il sait faire usage des mots avec dextérité mais jamais il ne s’en sert à des fins mauvaises, comme pour ne pas payer par exemple ou pour finir avec une jolie dame dans son lit. Autant le dire, Ruki n’a jamais touchée à une femme sous ces angles intimes même si oui, il a déjà eu bien des prétendantes. Toutefois, il n’est pas du genre à les amener avec lui dans une chambre dès le premier soir et les relations se terminaient bien souvent avant le temps voulu. Il s’est d’ailleurs interdit de toucher à une femme sans son consentement et sans être lui-même certains que cette demoiselle serait la bonne, celle qu’il conserverait à jamais dans son cœur. D’ailleurs, Ruki est un homme profondément romantique qui priorise l’amour avant le contact physique. Pour lui, c’est un sentiment important que de se sentir aimé, étant donné que le contraire n’apporte que souffrance.
Au creux de son fort intérieur, Ruki porte une certaine haine à chaque homme profitant des femmes. Il les respecte, leur voue une profonde compréhension, et tente d’être un ami pour elles, de ce fait, tout ceux tentant d’en profiter sont pour lui, des vautours, des rapaces tournant autour d’une proie pendant quelques temps, avant de foncer lorsqu’elle est vulnérable. Sous ses facettes de poète se cache un homme protecteur envers la gente féminine, il les défends volontiers, et sans rien demander en retour. Il n’aime pas jouer les princes charmants et préfère se montrer franc en ne demandant qu’un bref remerciement avant de repartir. Ruki se contente de peu et aime le grand air pour dire, il aime écouter les sons de la nature, un oiseau ici, un chat là, il préfère le calme. C’est un poète qui aime lire et écrire aussi, un bon livre l’occupe facilement. Mais mise à part tout cela, il est difficile de faire perdre son calme à ce jeune homme. Mais s’il le perds, il peut toutefois, se démontrer très dangereux. La seule fois où c’était arrivé, c’était contre son frère aîné. Et il s’est juré de ne plus jamais s’emporter…
Troisième Partie : Histoire
Ruki vit le jour dans le village paisible de Besaid. Il naquit au creux de la nuit alors que son frère plus vieux pleurait à en déchirer l’âme, il semblait réclamer à manger alors que leur mère célibataire tentait d’accoucher dans une des plus grandes souffrances du monde infligé aux femmes. Tout le monde l’entendait mais personne ne venait l’aider. On écoutait aux portes sans venir, on regardait aux fenêtres sans venir. Ruki ne connu ainsi jamais son père, qui était mort en tentant de repousser la menace qu’était Sin. Sa mère, une jeune femme du nom d’Aya, avait mit au monde d’elle-même ce poupon, sans aide, sans support. Elle était d’ailleurs profondément triste de devoir accoucher ainsi seul, car ce bébé avait été conçu à peine quelques jours avant que le père ne parte. Mitsurugi avait à faire avec les Crusaders et il était mort au combat contre Sin quelques jours plus tard, laissant une veuve et un enfant de quelques années à peine, et un embryon qui grandissait à l’insu de tous.
Aya n’avait pas trente ans que ses deux garçons lui donnaient une vie infernal. Ruki, âgé de six ans, se faisait toujours agacer par son frère aîné Aoi qui, lui, en possédait neuf. C’était une vraie teigne et ce petit garçon n’écoutait guère les ordres qu’on lui donnait. Ruki, contrairement à lui, respectait les règlements et était relativement calme, toujours isolé dans son coin. Aoi tentait toujours de se faire remarquer, sans grand succès. La haine entre les deux frères grandissaient, de façon unique cependant car Ruki ne répondait jamais aux attentes de son frère. Celui-ci le taquinait, il l’énervait, lui faisait mal, l’insultait, et pourtant le petit blondinet ne réagissait jamais à ses insultes pourtant insupportables de quiconque moindrement impulsif. Aoi tentait d’avoir de l’attention de la part de sa mère mais, même sans le chercher, c’était Ruki qui avait tout. Aoi ne comprenait cependant pas que c’était parce que son frère était gentil et calme, et non pas par favoritisme.
Ils grandirent dans l’ombre de chacun. Ruki était excellent en ce qui concernait l’apprentissage de la lecture et de l’écriture, alors qu’Aoi disait simplement que ça ne servait strictement à rien d’apprendre ces conneries. Pourtant, Ruki devint rapidement un passionné et il voulait que sa mère lui montre comment lire dès qu’elle avait un moment. Il adorait apprendre et n’hésitait pas une seconde à le faire, même si Aoi voulait toujours que sa mère dessine en sa compagnie. C’est de là que commença à naître le charisme de Ruki, son vocabulaire prononcée et son penchant pour la lecture. Aoi lui cependant, grommelait toujours qu’il était le chouchou de la famille, et ainsi grandit une profonde jalousie envers son petit frère. Aoi fini par disparaître du jour au lendemain, donnant un sang d’encre terrible à sa mère qui ne s’occupait plus de Ruki. Le jeune homme de quinze ans pouvait certes se débrouiller tout seul, mais l’inquiétude de sa mère le poussa à partir pour aller trouver Aoi.
C’est donc le lendemain même de l’anniversaire des dix-sept ans de son frère qu’il quitta Besaid avec le katana que son père possédait autrefois, présent de Aya pour lui souhaiter bonne chance. Il arriva à Luca où il ne trouva rien du tout, là-bas, il demanda à plusieurs personnes s’ils n’avaient pas vu un grand ténébreux douteux passer par là, mais jamais il ne reçu de réponse. Comme si Aoi les avait terrorisé. Ils semblaient tous tellement effrayés… Tant pis, il poursuivit ses recherches jusqu’à atteindre Guadosalam où il décida de cesser un peu. Il ne pourrait pas supporter de toute façon de continuer de chercher de la sorte. Il s’installa donc dans l’auberge pour faire camping en ignorant complètement les événements qui se passaient autour de la ville. On disait qu’il y avait des cristaux un peu partout qui apportaient des gens d’autre part et vice versa, des gens venaient d’ailleurs aussi. Ruki se disait donc que son frère devait forcément avoir voyagé à l’aide d’un de ses mystérieux bijoux scintillants.
Retournant à Besaid pour raconter ses découvertes à sa mère, Ruki découvrit avec horreur que sa mère était décédée de chagrin. Sans doute que le fait de ne plus avoir ses deux fils à ses côtés l’avait rendu encore plus fragile qu’elle ne l’était. Elle était tombée malade selon un habitant de la région, Wakka. Ce fut sans doute la première fois que Ruki ressentit une si profonde frustration. Il sortit de la tente et reprit rapidement le chemin pour trouver Aoi et lui faire payer d’ainsi avoir laissé Aya mourir. Il retrouva son frère, oui, dans les tréfonds du mont Gagazet. Un combat s’engagea avec une telle force qu’il dura approximativement deux jours. Les deux hommes se combattirent avec haine et rage, jalousie et rancœur. C’est Aoi qui gagna. Il planta profondément son arme dans le flanc droit de son frère et le laissa sombrer dans une inconscience par le manque de sang. C’est un Ronso qui ramena le jeune homme à la terre ferme, et les deux pieds sur terre, parmi les vivants.
Ruki refusait cependant de s’avouer vaincu et après avoir été soigné, il décida de retourner vers Besaid. Il n’avait pas vingt-cinq ans que déjà il reprenait la route pour faire de sa vie une éternelle recherche pour trouver son frère. Le nécromancien traversa la Plaine Félicité et ne tarda pas à se rendre dans la forêt de Macalania. Rien ni personne ne pouvait l’aider et il se sentait, dans un sens, terriblement seul. Cependant il se faisait fort. Ruki traversa la forêt et, avec l’aide du katana de Mitsurugi, il traversa les arbres sans soucis et se rendit jusqu’à Bevelle. Là, il alla dans l’hôtel afin de se reposer un minimum avant de reprendre ses recherches. Il ignorait complètement où il commencerait à chercher, cependant, il savait que son frère serait certainement quelque part sur Spira. Et c’est en s’endormant d’un œil distrait qu’il fini par se dire que ces recherches ne donneraient sans doute pas grand-chose. Mais de toute manière, il n’avait pas réellement de raison de faire autre chose de sa vie…
Quatrième Partie : Les Petits Plus
Arme : Katana
Votre Classe : Nécromancien
Invocation de votre Personnage : Ondine | |
|
